Vendredi 12 septembre, 20:00

La Bâtie Festival : Peter Bjorn & John / Wolfberg

La Bâtie accueille les Suédois de Peter Bjorn and John pour faire revivre leur album culte Writer’s Block, célèbre pour le hit Young Folks. Ce trio, figure emblématique de l’indie pop, continue de marquer la scène musicale avec ses mélodies imparables et une instrumentation granuleuse. En première partie, le duo Wolfberg, composé de Perrine Berger et Nicolas Wolf, présentera leur premier EP auto-produit, Luftpost. Leur musique pop innovante, mélangeant divers sons et instruments, lutte contre le capitalisme des réseaux sociaux et promeut des valeurs d’authenticité et d’unité.

Dès 16 ans ou accompagné·e d’un adulte.

Nyon,
Switzerland

Crédit photo:DR

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Festival La Bâtie 2025

Spectacles Trop Cool

plusieurs lieux

La Bâtie-Festival de Genève est un festival pluridisciplinaire qui se tient en septembre dans la région genevoise. Durant 18 jours, il propose une cinquantaine d’événements répartis dans plus de quarante lieux, mettant en scène musique, danse, théâtre et performances. Avec des artistes nationaux et internationaux, ce festival permet de découvrir les tendances actuelles et de confronter sa vision du monde à celle des artistes invités.

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Vendredi 12 septembre, 21:00

Festival La Bâtie – Alabaster DePlume / Yalla Miku

Spectacles

Point Favre

Pour célébrer les dix ans des Disques Bongo Joe, une soirée au Point Favre propose une exploration musicale avec Alabaster DePlume et Yalla Miku. Alabaster DePlume, saxophoniste et poète londonien, offre une musique réconfortante entre folk et jazz, propice à l’introspection. Yalla Miku incarne l’esprit punk et interculturel du label en mélangeant influences africaines, orientales et européennes à travers des sonorités traditionnelles et modernes.

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10 – 13 septembre

La Bâtie : Marvin M’Toumo ⎥Zizi Zozio

Spectacles

Théâtre de l'Usine

Zizi Zozio est une performance de Marvin M’Toumo, artiste et designer formé à Nice et à Genève, qui combine théâtre, mode et poésie. Elle évoque son enfance en Guadeloupe et un rêve de vivre parmi les pélicans. Le performeur incarne un oiseau, habillé de plumes, et traite de thèmes comme la violence, le sexe, la mémoire et les gestes de survie, mêlant récit, souffle, cris et chant. Par ce personnage hybride, il parle des enjeux de genres et de races avec authenticité, utilisant l’art comme un espace de doute et de réconciliation.

Dès 18 ans.

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11 – 13 septembre

La Bâtie Festival : Nowhere

Spectacles

Théâtre du Grütli

Khalid Abdalla, acteur et activiste, nous plonge dans un seul en scène complexe et ludique inspiré par la révolution égyptienne de 2011 et la contre-révolution qui a suivi. À travers une cartographie des événements mondiaux, il mêle récits personnels et politiques, abordant le colonialisme, la décolonisation, l’amitié, la perte, les protestations et les soulèvements, jusqu’à la violence récente à Gaza.

An anglais. Dès 14 ans.

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2 – 14 septembre

État sauvage

Spectacles

Théâtre des Grottes

Voir État Sauvage, c’est vivre une expérience théâtrale où rires et malaises se mêlent. Deux hommes, l’Un et l’Autre, se rencontrent dans un parc devenu espace sauvage, confrontant violence et raison. La pièce explore notre barbarie intérieure et la fragilité de la civilisation à travers des performances bouleversantes sous une lumière ciselée et une musique poignante. Le texte de Stéphane Jaubertie est puissant et moderne, offrant une fresque humaine dérangeante et hypnotisante. Le spectacle a reçu le 1er prix régional Rhône-Alpes du festival FESTHEA 2025 et a clôturé le festival Avignon IF 2025.

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11 et 12 septembre

La Bâtie Festival : Boris Charmatz & Dimitri Chamblas, « À Bras-Le-Corps »

Spectacles

Espace Vélodrome

Premier spectacle de Boris Charmatz et Dimitri Chamblas, « À bras-le-corps » a marqué en 1993 une rupture avec les codes chorégraphiques traditionnels. À 19 et 17 ans respectivement, les deux danseurs, formés au Conservatoire de Lyon, ont voulu s’émanciper des conventions établies. Présenté dans un carré entouré de chaises, ce spectacle a incarné une danse libertaire et révolutionnaire. En trente ans, « À bras-le-corps » a été joué à de nombreuses reprises, ses interprètes ont gagné en puissance et souplesse, et le public est resté captif de cette danse défiant le temps et la gravité.

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