La ville déborde de ses enceintes médiévales et modernes au XIXe siècle. Elle conquiert les terrains des fortifications qu’elle connecte au bâti ancien puis aux territoires faubouriens, ruraux ou agricoles situés dans son environnement immédiat. Comment se pense ce développement spatial, comment se traduit-il dans la reconfiguration sociale de la ville et des périphéries naissantes? Cette extension peut-elle s’envisager sans une transformation des modes de transports et des reconfigurations territoriales administratives? Peut-on mettre en regard ces mutations avec les «utopies» des villes nouvelles de la seconde moitié du XXe siècle ? Modération: Irène Herrmann (Université de Genève). Programme en partenariat avec la Haute école de musique, dont les étudiant·e·s vous offrent un accueil musical à 18h.
En français.