Frédérick Gravel revisite « Tout se pète la gueule, chérie », un concert dansé mordant et irrévérencieux qui démonte les codes de la masculinité. Quinze ans après sa création, cette version actualisée met en scène quatre hommes entre absurdité, violence et vulnérabilité, sur fond d’énergie rock et d’ironie grinçante.