Le rendez-vous de pratique artistique et de discussion célèbre ses dix ans. Kalonji ilustrateur et Serval, graffiti artiste, reçoivent des invités de prestige de différents domaines artistiques pour cet anniversaire
Le rendez-vous de pratique artistique et de discussion célèbre ses dix ans. Kalonji ilustrateur et Serval, graffiti artiste, reçoivent des invités de prestige de différents domaines artistiques pour cet anniversaire
L’exposition duo Memory Shelf de Gritli Faulhaber et Augusta Lardy Micheli invite à un dialogue délicat entre présence et absence. Leurs œuvres, présentées côte à côte sans jamais se rejoindre pleinement, explorent les marges de la perception et du sens. Les collages grand format de Faulhaber évoquent des instants silencieux, suspendus, où l’absence parle autant que la présence, tandis que les peintures de Lardy révèlent des gestes soudains, fruits de longues réflexions intérieures. Ensemble, elles naviguent entre hésitation et révélation, nous invitant à habiter ce qui échappe à toute définition claire.
Vernissage le jeudi 10 juillet, de 18h00 à 21h00, à l’occasion de la Nuit des Bains.
« Tuning in – Acoustique de l’émotion » est une exposition qui explore les liens entre le son, la voix, le patrimoine et l’action humanitaire. Utilisant des archives sonores et les collections du Comité international de la Croix-Rouge, de la Fédération internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge, et du Musée international de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge, l’exposition interroge sur les voix que nous conservons, leur importance, et le rôle de la musique dans l’action humanitaire. Elle présente des bandes sonores, enregistrements d’époque, affiches, photographies, objets de prisonnier·ères et œuvres d’art tant historiques que contemporaines.
Dans « Forms of the Never Was », Matthew Harris et Patrick Loughran unissent leurs pratiques distinctes de textile et céramique pour créer des formes inédites. Harris superpose des compositions textiles à travers des tissus peints et cousus, tandis que Loughran sculpte des formes céramiques contemporaines. Ensemble, ils explorent la forme, le mouvement et l’abstraction, donnant naissance à un univers inattendu de formes nouvelles.
Vernissage, musique et apéritif le jeudi 10 juillet, de 18:00 à 21:00.
L’exposition de l’UNIGE propose un voyage immersif au cœur des volcans, mêlant science, récits et légendes. Fascinés par leur puissance et leur majesté, les humains ont toujours cherché à comprendre et raconter les mystères des volcans. L’exposition explore leur fonctionnement, la puissance des éruptions, la prévision des éruptions et la transmission des savoirs. Une invitation à toucher, expérimenter et écouter pour saisir la dualité entre le danger et les richesses des volcans.
Une exposition collective explore la relation complexe et paradoxale entre l’humain et les plantes. En tant qu’indicateurs du changement climatique, ressources pharmaceutiques ou objets de tendance, les plantes incarnent différentes significations culturelles. À travers des œuvres documentaires, spéculatives ou expérimentales, les artistes examinent le statut des plantes, qu’elles soient décoratives, envahissantes ou médicinales. L’exposition décrypte les multiples représentations et valeurs des plantes dans notre société actuelle. Avec des contributions d’artistes divers et des institutions comme les Conservatoire et Jardin botaniques de Genève.
L’exposition Femmes chinoises explore divers aspects de la vie des femmes dans la culture chinoise à travers une sélection d’œuvres illustrant leur condition et les tensions associées. Elle commence par une réflexion sur la représentation traditionnelle des femmes dans l’art, avec des sculptures funéraires des Tang et des portraits de femmes des Qing. Elle examine aussi l’impact de l’image idéalisée de la femme chinoise en Europe, notamment à travers la porcelaine d’exportation et les chinoiseries de peintres comme Watteau et Boucher. L’exposition aborde également des thèmes comme le mariage, les ornements féminins, le bandage des pieds, et les divinités féminines protectrices, avant de clore par les trajectoires de femmes artistes chinoises, de Dong Xiaowan à Peng Wei. Elle inclut des contributions du musée Ariana, du Musée d’Art et d’Histoire, du Musée d’ethnographie de Genève et du musée Rietberg de Zurich.
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